Whatsapp, késako ?

WhatsApp est une application de messagerie instantanée pour smartphones. Concrètement, c’est une plateforme permettant d’avoir des conversations avec ses contacts à plusieurs ou à deux et d’échanger textes, images, vidéos, messages audio ou écrits… et de remplacer ainsi les bons vieux SMS. L’application utilise le réseau du Net pour échanger les messages et s’est développé en concurrence des SMS.

 Comment ça marche ?

Pour utiliser WhatsApp, il suffit de télécharger l’application. On se crée un profil simplement avec un nom d’utilisateur et une photo. L’application détermine immédiatement quels sont les contacts du téléphone qui ont l’application. Ainsi il est très facile de trouver ses contacts, les ajouter et commencer à s’échanger des messages.

WhatsApp propose un système d’accusé de réception très malin : vous pouvez connaître l’état d’envoi de votre message en comptant le nombre de coches vertes à côté du message. Une marque signifie que le texte est bien arrivé sur le serveur, deux marques indiquent que le message est bien arrivé à destination.

A quoi faut- il faire attention ?

  • WhatsApp nécessite le réseau Internet pour fonctionner, ce qui représente l’avantage d’être gratuit pour des échanges partout dans le monde à la différence des SMS qui sont payants et parfois très chers vers l’étranger. C’est également l’inconvénient : l’application ne fonctionne pas sans accès au réseau 3G ou WIFI.
  • Malgré que WhatsApp fasse partie de Facebook, il ne faut pas de compte Facebook pour utiliser leur service. Attention, ceci n’est pas le cas pour Messenger, autre appli de Facebook qui requiert un compte Facebook pour pouvoir l’utiliser. De plus, il ne fait aucun commerce publicitaire avec vos données et ne fera jamais de publicité sur l’application. C’est une philosophie clairement affichée par les fondateurs.

Nos conseils clefs pour votre enfants :

  • Expliquez à votre enfant qu’il faut être vigilant à ne pas dépasser son quota de données mobiles au risque de s’exposer à des coûts importants.
  • En cas de cyber-harcèlement, rappelez-lui que les messages échangés peuvent être sauvegardés. Les propos et contenus graphiques peuvent donc être conservés et retenus contre son émetteur s’ils sont préjudiciables.